La valse lente des tortues (Poche)

Katherine Pancol
Katherine Pancol
Romans et nouvelles

Date de parution

04/11/2009

Editeur

Le Livre de poche

Format

Poche

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Ce livre est une bourrasque de vie... Un baiser brûlant du seul qu'on ne doit pas embrasser. Deux bras qui enlacent ou qui tuent. Une femme qui tremble et espère ardemment... Un homme qui ment si savamment. Une femme qui croit mener la danse. Des adolescents plus avertis que les grands... Un père, là-haut dans les étoiles, qui murmure à l'oreille de sa fille... Un chien si laid qu'on s'écarte sur son passage. Des personnages qui avancent obstinément, comme de petites tortues entêtées qui apprendraient à danser lentement, lentement, dans un monde trop rapide, trop violent...

Caractéristiques
Auteur(s)	Katherine Pancol
Date de parution	04/11/2009
Nombre de pages	752
Dimensions (cm)	18x11
Editeur	Le Livre de poche
Poids du produit	398 g
Format	Poche
EAN	9782253133209
Collection	Le Livre de poche n°31453
Type de litterature	Littérature Française contemporaine / Texte en langue originale
Genre (littérature)	Romans et nouvelles

Biographie de Katherine Pancol

Née à Casablanca au Maroc le 22 octobre 1954, Katherine Pancol s’installe en France avec sa famille à l’âge de cinq ans. Passionnée par la littérature dès son plus jeune âge, elle poursuit un cursus universitaire dans ce domaine et décroche un doctorat de lettres modernes. Journaliste dès l’âge de 20 ans, elle est invitée cinq ans plus tard à écrire son premier roman pour la maison d’édition Robert Laffont.

En 1979, Katherine Pancol publie Moi d’abord, et séduit plus de 300 000 lecteurs. Exilée aux États-Unis au lendemain de ce succès, la Française perfectionne son talent d’écriture avant de dévoiler La Barbare. Sans quitter son métier de journaliste, elle s’inscrit de façon définitive dans le statut de romancière. Les Yeux jaunes des crocodiles (2006) et Les Écureuils de Central Park sont tristes le lundi (2010) la propulsent parmi les auteurs français les plus lus. En 2023, Katherine Pancol publie La Mariée portait des bottes jaunes chez Albin Michel