Rise of the Ronin (PS5)

L'histoire de Rise of the Rõnin se situe vers la fin du XIX siècle, le jeu dépeint une guerre de faction entre pro-shogunat et anti-shogunat qui nous fait découvrir l'ouverture du Japon sur l'occident. Notre personnage principal devra forgé sa voix dans sa quête de vengeance qui aura une influence sur le destin du pays. L'histoire en soi elle est prenante, mais le problème c'est qu'il y a beaucoup trop d'intervenants, il m'a été difficile de me retrouver dans cet afflux de personnages qui se succèdent, des fois il m'arrivait de confondre certaines personnages. Maintenant comment on dit, je vais mettre directement les pieds dans le plat. Ce qui m'a dérangé dans ce jeu ce sont les graphismes. On est clairement pas sur de la next-gen, j'ai plus eu l'impression de jouer à un jeu PS3! Rien que les bâtiments à regarder de pré, donner l'impression que ce sont des bâtiments en carton avec des fenêtres dessinées dessus. Certes c'est un jeu à monde ouvert mais cela n'excuse pas cela, d'ailleurs Ghost of Tsushima est un parfait exemple! Concernant la partie combat, j'ai pris du plaisir à jouer! Il faut avouer que ça tranche dans le vif, et le jeu n'en démord pas. D'ailleurs lors des combats on peut démembrer les personnages ce qui apporte un côté jouissif, et je ne vous parle même pas des modes d'exécution pour faire un finish mouv. Un outil qui sera d'ailleurs indispensable dans le jeu c'est le grappin, il sera utile lorsque vous affronterez des ennemis pour leur balancer des objets au visage, mais il sera utile également pour des déplacement en verticalité et vous propulsé avec votre delta plane, qui est d'ailleurs très plaisant d'utilisation. Pour faire bref j'avais beaucoup d'attentes sur ce jeu. J'espérais beaucoup retrouver une sorte de Ghost of Tsushima qui est pour moi la réf dans le domaine, pour au final avoir un sentiment mitigé.

Jeu terminé. J’ai mis du temps à profiter pleinement du jeu car il demande de la concentration et de la maîtrise, une fois assimilé c’est un pur bonheur entre parer et attaquer, beaucoup de missions annexes qui enrichissent l’histoire entre les personnages. La période est intéressantes pour connaître l’histoire de toutes ces villes. Les costumes géniaux. Un peu long si comme moi vous cherchez le platine. A faire sans aucun doute. Merci

Points négatifs : graphisme de ps2, combats pas toujours équilibrés, quelques bugs visuels. Points positifs : histoire magnifique, possibilité de gameplay innovante, liens entre les personnages, liberté d'action. Malgré ces défauts, le jeu propose une expérience divertissante. Environ 90h pour tout terminer.

J'ai beaucoup accroché à l'histoire aux personnages et à la manière dont le jeu nous capte. Il traite également d'une époque assez inédite dans les jeux traitant sur le Japon. Graphiquement, il n'est pas next-gen mais il m'a captivé, challengé et pas mal de petits à-côtés sympathiques, ce jeu vaut le détour Évidemment j'ai voulu clean toutes les maps...

Ce jeu m'aura occupé pendant plus de 50 heures en difficulté normale. J'ai assez vite trouvé le jeu redondant, parfois brouillon dans les systèmes de combat. Mais en prenant du recul, j'en arrive à un avis différent. Rise of the Ronin est un jeu qui a été travaillé sur un bon nombre d'aspects : les personnages sont (très) nombreux, plutôt bien présentés ; le stuff du jeu est tout aussi varié ; l'histoire est franchement intéressante, bien que complexe ; il y a beaucoup de quêtes différentes, et chaque activité a un intérêt particulier. C'est sur ce dernier aspect que je vais un peu m'attarder. Rise of the Ronin n'est pas un jeu de remplissage. Toutes les activités proposées servent le joueur : n'importe laquelle nous permet de gagner de l'XP, du stuff particulier, d'améliorer nos liens avec des personnages pour obtenir des récompenses bien spécifiques... En bref, même si le jeu ne propose pas de graphismes exceptionnels et souffre de quelques longueurs, il est indéniable que les développeurs ont travaillé pour unifier le jeu et proposer une cohérence dans l'expérience du joueur. Je leur reconnais ce travail, je crois que ce jeu n'était pas forcément fait pour moi.